Chapelle de Saint-Etienne de Douchanez
Juchée sur un piton rocheux, la chapelle Saint-Étienne de Douchanez domine les gorges de l'Allier. De dimension modeste, cet édifice correspond à l'ancienne chapelle castrale en liaison avec le château, aujourd'hui disparu, des seigneurs de Douchanez.
Cette chapelle a été édifiée probablement au XIIe siècle par les seigneurs de Doschaz, une des plus anciennes lignées féodales du Gévaudan. Elle est consacrée à Saint Etienne, qui est resté le protecteur des villages de Douchanez, des Chastres, de Freycenet et de Ramenac, dont les habitants, autrefois, fréquentaient ce qui fût peut-être la chapelle du Château disparu.
La campagne de restauration de la chapelle a débuté en 2010 par « les Ateliers de la Bruyère », association d’insertion de Saugues en lien avec la mission locale de Brioude.
La réalisation concerne le gros œuvre ; le plafond de bois et une partie du sol fabriqués en pavés de robinier. La mise en place des vitraux est l’œuvre de Fabienne de Seauve, vitrailliste au Puy. Le chantier s’achève avec la pose de la porte de chêne, réalisée par l’entreprise Pontier de Saugues.
Une petite légende se raconte :
L’histoire vrai ou légendaire… a retenu de cette famille qu’elle avait reçu de l’évêque de Viviers en cadeau un couple de chiens de chasse. Les deux chiens sont surnommés : Duobus et Canibus. Ce qui deviendra, dit-on, beaucoup plus tard, Doschaz, puis Douchanez.
Chaque 1er dimanche du mois d’août, un pèlerinage est organisé
La campagne de restauration de la chapelle a débuté en 2010 par « les Ateliers de la Bruyère », association d’insertion de Saugues en lien avec la mission locale de Brioude.
La réalisation concerne le gros œuvre ; le plafond de bois et une partie du sol fabriqués en pavés de robinier. La mise en place des vitraux est l’œuvre de Fabienne de Seauve, vitrailliste au Puy. Le chantier s’achève avec la pose de la porte de chêne, réalisée par l’entreprise Pontier de Saugues.
Une petite légende se raconte :
L’histoire vrai ou légendaire… a retenu de cette famille qu’elle avait reçu de l’évêque de Viviers en cadeau un couple de chiens de chasse. Les deux chiens sont surnommés : Duobus et Canibus. Ce qui deviendra, dit-on, beaucoup plus tard, Doschaz, puis Douchanez.
Chaque 1er dimanche du mois d’août, un pèlerinage est organisé
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